Mobirise

« J’écris quand la parole se tait et que seule l’écriture peut encore tenir lieu de présence. »

Carnet de voyage, elle.

Présentation de l’œuvre :  " Carnet de voyage, elle"

Ce texte est le journal fragmenté d’un homme en voyage, traversé par l’amour, la création et la conscience aiguë de la finitude.
Structuré en jours, à la manière d’une genèse inversée, il suit un déplacement géographique qui devient peu à peu un chemin intérieur : celui d’un être qui tente de donner sens à la perte, au désir, à la maladie et à l’acte de créer.
Adressé à une femme aimée, souvent absente, parfois silencieuse, ce récit explore l’asymétrie amoureuse, l’attente, la projection et la nécessité vitale de la parole. Le voyage y est tour à tour réel et mental : îles, routes, hôpitaux, chambres, théâtres deviennent des espaces symboliques où se rejouent la peur de disparaître et l’espoir de transformer la douleur en œuvre.
Au fil des pages, l’amour cesse d’être seulement une relation pour devenir une matière artistique. Le théâtre apparaît alors comme un lieu de vérité possible, un territoire où la chair, le langage et la mémoire peuvent se rejoindre. La création d’une pièce – sombre, charnelle, tragique – marque le basculement du récit intime vers une réflexion plus large sur l’art, le pouvoir, le corps et la transmission.
L’épilogue, plus fragile et plus dépouillé, confronte le lecteur à la maladie, à l’effacement progressif des certitudes et à la question ultime : que reste-t-il lorsque le corps lâche, lorsque l’autre s’éloigne, lorsque les mots deviennent la seule manière de tenir debout ?
Ce texte n’est ni un roman classique, ni un simple journal, ni une confession.
Il est une tentative de lien absolu, un acte de foi dans l’amour et dans la création, un refus du tiède et du renoncement.
Une traversée, lucide et ardente, de ce qui fait une vie lorsqu’on accepte d’en regarder les failles.

Ce qui demeure après l'ovation

Présentation de l’œuvre : " Ce qui demeure après l'ovation"
 
Ce qui demeure après l’ovation est le récit d’une traversée : celle d’un homme qui a longtemps vécu en marge de la reconnaissance avant d’y accéder tardivement, et qui découvre alors que le succès ne résout rien, il déplace simplement les lignes de fracture.

Dans le monde du théâtre, où la gloire circule vite et s’éteint tout aussi brutalement, une première confidentielle devient le point de départ d’une histoire de pouvoir, de domination feutrée et de désirs mal nommés. Autour du narrateur gravitent deux figures féminines opposées et complémentaires : Clara, metteuse en scène brillante et redoutable, pour qui l’art est indissociable du contrôle ; Jane, actrice discrète, presque oubliée, dont la présence fragile rappelle que le théâtre peut aussi être un lieu de vérité silencieuse.

À travers elles, le texte interroge la frontière trouble entre reconnaissance et amour, entre admiration et dépendance, entre ce qui brille et ce qui dure. Il explore la chute, non comme un spectacle, mais comme une conséquence intime ; et l’amour, non comme une réparation, mais comme une attention prolongée, affranchie du regard des autres.

"Écrit dans une prose élégante et retenue, Ce qui demeure après l’ovation est une méditation sur la création, la grandeur éphémère et ce qui subsiste lorsque les lumières s’éteignent  quand il ne reste plus que la vérité d’un regard soutenu, sans applaudissements."

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